vendredi 10 avril 2009

Atelier d'écriture d'un conte merveilleux - CE2



- Approche du conte par une contée d'une heure (contes merveilleux, randonnées...)

- Ecriture collective à partir d'un conte écrit par un élève.

- Nous gardons le début - un jeune garçon veut travailler dans un cirque, le directeur lui fait passer trois épreuves.

- Nous modifions les épreuves pour les rendre plus difficiles et dangereuses - traverser un cercle de feu, tenir en équilibre sur un fil et sur une main, s'allonger sur un tapis de piquants.

- Nous choisissons les aides et nous déterminons ce qu'a fait le héros pour être aider par elles
1) un stylo qu'il avait ramassé sur le trottoir jette de l'encre dans les yeux du directeur du cirque et le garçon passe sous le cercle pendant que le directeur s'essuie les yeux.
2) un singe qu'il avait aidé à s'enfuir d'un zoo lui donne le pouvoir d'être acrobate et il reste en équilibre sur le fil.
3) un oiseau qui allait être tué par un chasseur lui donne ses plumes pour faire un matelas entre les piquants et son corps, il peut ainsi s'allonger sur le tapis.

- Le héros réussit les épreuves, il obtient ce qu'il souhaitait et finit par remplacer le directeur qui prend sa retraite et épouser sa fille.

- Le conte commence par "il était une fois", il se termine par "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants".

Classique.


Cet atelier entre dans un projet de la classe sur le livre.






jeudi 5 mars 2009

Atelier d'écriture à partir d'images - classe de 6e


La morsure du loup
Un soir d'hiver, un homme accompagné de sa meute de loups, marchait dans le froid de Norvège. Cet homme adorait ses bêtes. Il y avait Perle d'Or, Loup Bleu et Paillette leur petite louve. L'homme venait de trouver un jeune loup dans une grotte. Il avait très peur des hommes....
Marine

Le vieil homme et le violon
A l'orée d'un grand bois, vivait un vieil homme. Il était pauvre. Il était grand avec une longue barbe blanche. Chaque matin, il prenait son violon et il allait jouer quelques mélodies aux animaux. Cela le rendait heureux. Qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il fasse beau, il sortait avec son violon jouer un air...
Didier

La maison abandonnée
"Puisque je te dis que les lieux enchantés n'existent pas" disait Mebal à sa petite soeur, Océane. Les deux fillettes s'enfonçaient dans la profonde forêt des Chevreuses, domaine de leur grand-père. Soudain les yeux d'Océane s'exorbitèrent et sa bouche s'agrandit de stupeur. "Excuse-moi, mais je ne vois rien!" lui dit Mebel, quelque peu surprise. Océane ne répondit pas et se contenta de pointer du doigt une maisonnette qui apparaissait entre les arbres. Mais quelle maisonnette ! Devant un petit égang couvert de mousse. Des roseaux poussaient ça et là, pliant sous n'importe quelle bourrasque...
Lara









mardi 3 mars 2009

Atelier d'écriture à partir d'un début d'histoire - classe de 6e

Il pleuvait. Elle regardait les gouttes d'eau glisser. Le train roulait à vive allure.
Alice, c'était son prénom. Elle habitait en Bourgogne avec ses parents et son petit frère. Mais ses parents n'étant pas contents de ses résultats scolaires, l'envoyèrent à Paris, en pension. Elle avait supplié pour ne pas y aller mais rien n'y avait fait. Elle était partie maintenant et ne pouvait plus reculer. Sa famille et la ferme allait lui manquer....
Marie-Ameline

Elle ramait et la barque avançait doucement, quand tout-à-coup, Mia, qui avait huit ans, tomba à l'eau. Rajid, son frère, essaya de la ramener sur la barque avec sa rame mais il n'y arrivait pas. Elle s'enfonçait de plus en plus et le courant l'emporta. Rajid sauta dans l'eau pour chercher sa soeur mais en vain. Il rentra au camp sans Mia. Il pleurait à l'idée d'annoncer la mort de sa soeur. Quand son père apprit la nouvelle, il organisa un feu en sa mémoire....
Inès

Dans la ville, il y avait un parc. Dans le parc, il y avait un banc. Sur le banc, il y avait une fille que je connaissais et que je trouvais très belle. Elle me regardait avec ses beaux yeux pétillants. Mais j'étais un garçon beaucoup trop timide pour lui parler, alors je suis partis sans dire un mot. Je l'ai regretté, c'est pour cela que je suis allé demander conseil à ma mère. Elle m'a demandé son nom, je lui ai répondu qu'elle s'appelait Manon et qu'elle avait quinze ans, comme moi. Ma mère m'a dit qu'une fille aimait les lettres d'amour, les fleurs, le bijoux, les poèmes...
Laurene


Au creux de la vallée, il y avait une maison, toute petite. Là, vivait une vieille femme avec sa chèvre et son chien. Tous les jours, été comme hiver, une fumée blanche s'échappait de la cheminée. Un jour, il n'y a pas eu de fumée.
Les gens du village s'interrogèrent, se questionnèrent puis finalement, ils envoyèrent un petit groupe de personnes pour voir ce qui se passait. La vieille femme ne venait jamais au village car elle avait chez elle tout ce qui lui fallait pour vivre; elle trouvait sa nourriture à l'intérieur de son potager et buvait l'eau de la rivière. Personne du village ne venait lui rendre visite et elle avait pour tout compagnie son chien ainsi que sa chèvre qui lui donnait du lait pour faire des fromages. Sa maison, petite et carrée, avait un toit de chaume, des volets verts qui avaient été vieillis par le soleil en les pâlissant. Sa porte était rouge et arrondie en haut....
Victor



Au sommet de la colline, il y avait un château fort en ruine. On disait qu'il y avait encore des oubliettes. Rien qu'à entendre ce mot, les enfants tremblaient de peur. Mais l'envie d'aller voir était plus forte que la peur.
Alors un matin, trois enfants décidèrent d'aller visiter le château en ruine. Dans ce groupe d'enfants, il y avait deux garçons âgés de douze ans et une fille du même âge. Ils étaient tous les trois très amis mais très différents. Par exemple Lucas, un des garçons, était un très grand sportif mais pas très intelligent, contrairement à François qui, lui, était très intelligent mais pas un grand sportif. Julie, la seule fille du groupe, était une grande et belle gymnaste...
Paul


C'était un désert de pierres. Une caravane s'était arrêtée pour la nuit. Les hommes avaient dressé les tentes, les femmes préparaient le repas. Soudain, il y eut un sifflement qui venait de derrière un rocher.
Au début, personne ne l'entendit mais au deuxième sifflement, tout le monde paniqua. Les femmes criaient, les chameaux couraient dans tous les sens. Les hommes se sont approchés du rocher, de plus en plus près. A ce moment-là, il y eut un grand vent dans le désert, il commença à faire froid. Les lampes se sont éteintes...
Louis